Après avoir une nouvelle fois suspendu son compte Instagram, la pop star a vu la police débarquer chez elle. La cause? Ses admirateurs…

Elle aimerait certainement qu’on lui lâche un peu la grappe… Et pourtant, le 24 janvier dernier, Britney Spears a dû justifier de son état psychique auprès de la police de Los Angeles. Les forces de l’ordre sont venues sonner à la porte de sa villa, alertées par une armée de fans inquiets pour elle. “Je peux confirmer que nous avons reçu beaucoup d ’appels sur notre serveur pour nous rendre à son domicile”, a déclaré le porte-parole du bureau du shérif du comté de Ventura, en Californie.

Au standard téléphonique, les admirateurs de la pop star ont expliqué qu’elle avait une nouvelle fois fermé son compte Instagram sans prévenir et que, quelques jours plus tôt, elle a été filmée en plein nervous breakdown dans un resto près de Beverly Hills. Pour eux, aucun doute, Britney est en détresse. Il faut intervenir de toute urgence !

La police sonne à sa porte 

Asghari a beau assurer que son épouse se porte bien, rien à faire, les fans de Britney ne le croient pas. Pire, certains vont même jusqu’à imaginer qu’il la retiendrait en otage et aurait pris le contrôle de sa vie… “J’adore mes fans mais cette histoire va un peu trop loin, explique la chanteuse sur Twitter. La police n’a pas eu besoin d’entrer chez moi, ils ont constaté que j’allais très bien, qu’il n’y avait aucun souci et ils sont repartis aussitôt. Mais cet incident, c’est du harcèlement !” s’agace-t-elle.

Ils s’étaient mobilisés quand Britney était sous tutelle pour qu’elle retrouve sa liberté. Aujourd’hui, les fans de la chanteuse ont poussé le bouchon un peu trop loin.

Pourtant il y a tout de même de quoi s’inquiéter. Depuis la fin de sa tutelle en novembre 2021, l’interprète de Toxic semble marcher sur une ligne de crête. Entre les photos nues, les danses frénétiques, les doigts d’honneur postés sur les réseaux sociaux, beaucoup s’interrogent sur sa santé mentale. À ses fans, Britney répond qu’elle ne s’est jamais sentie aussi libre. Mais, avec leur présence perpétuelle et envahissante, cette liberté est plus que surveillée.

Léa Hasvry

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