Apolline de Malherbe et Estelle Denis étaient les invitées de Yann Barthès dans Quotidien, ce mercredi 30 novembre. Présentatrice de la matinale de RMC et BFMTV, la successeur de Jean-Jacques Bourdin a fait quelques confidences sur son état d’esprit à l’antenne et donné la recette de sa confiance en elle avant les interviews politiques.

Chez Apolline de Malherbe, la confiance en soi ne tient pas à grand-chose. Une paire de talons, pour être précis. Ce mercredi 30 novembre, la journaliste à la tête à la matinale de RMC et BFMTV était l’invitée de Quotidien, avec Estelle Denis. Après avoir donné son avis sur l’actualité, la célèbre présentatrice a évoqué son rituel avant de prendre l’antenne et d’interroger les politiques français. “À un moment, je me suis rendu compte qu’il fallait presque mettre une forme de carapace. (…) Alors oui, je rentre un peu dans une forme de scaphandre et tout ce que j’ai trouvé, c’est des chaussures à talons”, a révélé celle qui a officiellement succédé à Jean-Jacques Bourdin, en juin dernier.

“Ça me change, dans la vraie vie je suis souvent en baskets”, a expliqué Apolline de Malherbe, s’amusant avec sa consœur de sa tendance à “oublier ses chaussures un peu partout” dans le studio. “Je ne suis même pas sûre qu’on voit mes pieds, mais c’est mental. Le simple fait de devoir changer de chaussures, je change d’état d’esprit, je me tiens droite et je vais un peu plus au combat”, a-t-elle précisé, parlant de l’interview politique comme d’une “demi-heure de solitude”.

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Apolline de Malherbe “préoccupée” par la vieillesse

Depuis quelques années maintenant, Apolline de Malherbe est en effet l’un des visages phares de l’actualité télévisuelle. Face à Marine Le Pen, Manuel Bompard, Gérald Darmanin ou encore Bruno Le Maire, la journaliste est veille toujours à produire une matinale exigeante et riche en informations. Ses talons n’empêchent pas celle qui fut révélée en France par l’affaire DSK en 2011 d’avoir des doutes. “Je sais qu’un jour, je serai passée de date pour la télé. J’espère travailler le plus longtemps possible, parce que j’ai la chance d’aimer mon métier, mais il faut dire ce qui est : un vieux journaliste, ça fait chic. Une vieille journaliste, on lui fait moins souvent signe”, a notamment pointé la quadragénaire dans une interview accordée à Elle en octobre dernier.

L’ex-correspondante de BFMTV aux États-Unis a pourtant dévoilé qu’elle avait “longtemps rêvé d’avoir 45 ans”. “Je me disais : ‘À 45 ans, c’est le bon moment, les enfants seront grands, je pourrai souffler.’ Je me disais : ‘À 45 ans, peut-être de temps en temps, je m’assiérai sur le canapé et pourrai me détendre’”, a-t-elle détaillé, avec humour dans l’hebdomadaire féminin. Et d’ajouter avec autodérision : “Bon, j’ai 42 ans, et je m’assois toujours aussi rarement sur le canapé. Parce qu’il y a toujours un truc à faire : le boulot, un imprévu, un enfant qui a besoin d’attention. Mais j’aspire à vieillir. En revanche, vieillir physiquement me préoccupe.”

Crédits photos : Capture d’écran / Quotidien / TMC

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À la fin des années 1980, David Pujadas devient reporter sur TF1 avant de rejoindre LCI en 1994. Il a alors 30 ans et amorce une glorieuse carrière. En 2001, le journaliste rejoint France Télévisions et s’impose comme le maître de l’information. Côté style, peu de choses ont changé, à part ses lunettes, qu’il n’arbore plus.

La star de France 2, qui s’attache à percer les secrets du « monde merveilleux des affaires » dans Cash Investigation,a commencé sa carrière en 1983 sur la chaîne FR3 Caen. Puis, en mars 1990, à 27 ans, Elise Lucet prend les commandes du 19/20 sur la chaîne publique. Désormais âgée de 58 ans, la journaliste a totalement changé de look !

C’est en 1992, à seulement 23 ans que Christine Kelly fait ses premiers pas à la télé sur la chaîne Archipel 4, diffusée en Guadeloupe. Par la suite, elle quitte la présentation pour devenir journaliste. En 2000, à 31 ans, elle rejoint LCI. À 52 ans, si Christine Kelly a bien changé, elle n’a rien perdu de son charme.

Après des études de lettres et un master en sociologie politique, Apolline de Malherbe rejoint le groupe NextRadioTV. De 2008 à 2011, elle est correspondante de BFMTV à Washington et se dévoile au grand public en couvrant l’affaire DSK. Mais avant cela, en 2007, la journaliste a alors 27 ans et publie son premier essai Politiques cherchent Audimat, désespérément (Albin Michel). Côté style, Apolline de Malherbe arbore désormais un look plus moderne, mais le temps ne semble pas apparaître sur son visage.

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