L’actrice Chantal Ladesou a révélé dans l’émission "Les Grosses Têtes" avoir tourné dans un film porno sans même le savoir. Découvrez les détails de cette expérience pour le moins inattendue.

Mais le tournage du film appelé Maîtresse de vacances a rapidement coupé court parce que "mon mari [Michel Ansault, vu cette année dans Mask Singer sur TF1, ndl] est venu me chercher, il a cassé la gueule au metteur en scène", relate l'humoriste. Une question brûle les lèvres de tout le monde et Caroline Diament, chroniqueuse RTL, se jette à l'eau et demande : "Mais après la scène ou avant ?". "Avant la scène", réplique Chantal Ladesou. "Parce que d'un seul coup, c'était dans une fête, le mec a dit "tous à poil"". Prise de court, elle a expliqué qu'elle n'était pas au courant et que "personne ne me l'a dit", pendant que le metteur en scène insistait : "Si, si, il faut te mettre nue". Afin d'éviter ce tournage, elle raconte au micro de RTL : "J'ai essayé de faire un gag avec un copain (…). J'ai essayé de mal le déshabiller, de mal sortir sa chemise…"

Une autre actrice a aussi tourné dans un film porno sans le savoir

L'actrice Charlotte de Turckheim a vécu une expérience très similaire. En janvier 2017, sur le plateau de C à Vous, elle dévoile : "J'ai tourné dans un film porno sans le savoir, je vous jure que c'est vrai". Moins d'un an plus tard, elle livre des détails sur cette expérience au magazine VSD. Elle raconte alors que cette histoire est survenue à l'âge de 20 ans : "Avec ma copine, on nous a proposé de faire de la figuration dans un film. Comme ça se tournait dans le château de copains de mes parents et qu'on était payé quelque chose comme 200 euros de la journée, on n'a même pas demandé à lire le scénario".

"On nous demande de se promener dans la forêt et de ramasser des fleurs et tout ça. Donc je me dis que le film est charmant et adorable. (…) Et c'était l'été, on avait des petites jupes courtes et je n'avais pas réalisé que la caméra était au ras du sol", se souvient l'actrice sur le plateau de C à Vous. Elle précise à VSD : "Ça s'appelait "Le Gibier". On pensait que c'était un film de chasse !". Et à la sortie du film, c'est la surprise, le titre "est devenu "Les Dépravées du plaisir" et c'était pas du soft mais bien du porno PORNO".

Avec le recul, Charlotte de Turckeim n'a pas honte de cette expérience mais plus jeune, elle a eu du mal à l'assumer. "C'était un peu violent pour une fille qui sortait du 16e arrondissement ces premiers pas dans le cinéma (…) J'ai pratiqué le déni avec cette histoire, parce que j'ai eu tellement honte. Peut-être que ça ne pouvait arriver qu'à moi", avoue-t-elle.

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