Cheveux gris, rides… À 63 ans, Jamie Lee Curtis fait partie de ces actrices qui à Hollywood assument pleinement leur âge. Actuellement à l’affiche du film Halloween Ends, la starn’a pourtant jamais caché avoir eu recours à des opérations de chirurgie esthétique. Des interventions qu’elle explique regretter aujourd’hui. 

Jamie Lee Curtis refuse de ressembler à une « figurine en plastique » 

Invitée de l’émission Today Show le 10 octobre dernier, l’actrice a ainsi révélé que l’un des conseils qu’elle avait transmis à ses deux filles Annie et Ruby était celui de « ne pas jouer avec son visage ». « J’ai fait de la chirurgie plastique. J’ai mis du Botox dans mon visage. Est-ce que ça fait disparaître les rides ? Oui. Mais après vous ressemblez à une figurine en plastique », a-t-elle indiqué. 

Déçue du résultat de ces interventions qui ne l’ont pas aidée à se sentir mieux dans sa peau, Jamie Lee Curtis déplore qu’aujourd’hui « des gens concentrent leur vie là-dessus ». 

L’an dernier déjà, dans une interview avec le média Fast Company, l’actrice réagissait sur l’évolution des standards de beauté et l’usage grandissant de chirurgie esthétique chez les plus jeunes : « La tendance actuelle des fillers, des procédures esthétiques et cette obsession des filtres sur les réseaux sociaux… Toutes les choses que nous faisons pour ajuster notre apparence sur Zoom anéantissent des générations de ce qu’est la vraie beauté », avait-t-elle déclaré ajoutant « qu’une fois que vous avez abîmé votre visage, vous ne pouvez plus le récupérer ». 

Cette opération de chirurgie esthétique qui l’a rendue accro aux opioïdes 

En 2018, l’actrice avait révélé au magazine People avoir développé à la fin des années 80 une dépendance aux anti-douleurs à la suite d’une opération de chirurgie esthétique au niveau des yeux. Une addiction gardée secrète pendant une dizaine d’années avant qu’elle demande finalement de l’aide.

Sevrée depuis plus de vingt ans aujourd’hui, Jamie Lee Curtis continue d’assister régulièrement à des réunions. « Ma sobriété a été la clé de la liberté, la liberté d’être moi, de ne pas me regarder dans le miroir et d’essayer de voir quelqu’un d’autre. Je regarde dans le miroir. Je me vois. Je m’accepte », avait-elle confié à Today en 2021. 

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