Ce jeudi 1er septembre, Marilou Berry se confiait à nos confrères de Gala. L’occasion pour elle d’évoquer sa maternité et l’une de ses plus grandes craintes.

Le 16 juin 2019, Marilou Berry publiait un tendre cliché des deux hommes de sa vie. « Sur votre gauche, un papa depuis 7 mois et a droite un papa depuis 36 ans ! Bonne fête mes papas ! Je vous aime ! », écrivait-elle pour, d’une certaine façon, officialiser le fait qu’elle était devenue maman et en était très heureuse. Malgré le bonheur de sa nouvelle vie, la fille de Josiane Balasko avoue avoir quelques craintes depuis qu’elle endossait ce nouveau rôle.

Des craintes qu’elle évoquait justement au cours d’un entretien accordé à Gala ce jeudi 1er septembre. « Avec un enfant, chaque jour est différent. Les enfants évoluent tellement vite. On n’a pas le temps de s’habituer à quelque chose », confiait-elle dans un premier temps avant d’avouer avoir de nombreuses craintes depuis l’arrivée au monde de son fils : « De toutes les manières, on craint toujours le pire pour nos enfants. On a toujours peur qu’ils souffrent. » Malheureusement, cette peur ne devrait pas s’envoler de sitôt et devrait même empirer au fil des années, notamment lorsque sa petite merveille atteindre l’adolescence…

Maman différente de l’adolescente ?

Marilou Berry le sait et c’est aussi pour cela qu’elle est consciente des efforts à faire dans le futur. « Après, il faut aussi lâcher prise. Il faut lui laisser le temps de se construire », reconnaît-elle avant d’assurer qu’elle ne serait pas « la personne que je suis aujourd’hui si je n’avais pas vécu tout ce que j’ai vécu. Je suis née dans un foyer aimant et qui avait les moyens de m’éduquer. J’ai une famille qui avait une vraie culture et une ouverture d’esprit. J’ai eu la grande chance, je n’ai jamais subi aucune violence sexuelle ou violence tout court. Je n’ai jamais vécu de choses très dures que plein de gens peuvent subir. D’une manière générale, je suis épargnée par la vie ».

Malgré tout, cela n’a pas empêché la fille de Josiane Balasko d’être victime d’horribles insultes homophobes. « Même si j’ai été victime de grossophobie, ça m’a renforcée et m’a construite. Ça me permet aujourd’hui d’avoir confiance en moi et d’affirmer les choses », assure-t-elle pour conclure.

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R.F

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