Quelques jours après l’annonce du groupe Altice de se séparer définitivement de Jean-Jacques Bourdin, sur le plateau de Touche pas à mon poste, lundi 20 juin 2022, Gilles Verdez a fait des révélations sur les indemnités que le journaliste pourrait toucher.

Après des mois à être écarté des antennes de BFMTV et de RMC, suite aux accusations de tentatives d’agressions sexuelles dont il est la cible, Jean-Jacques Bourdin a été licencié vendredi 17 juin 2022. Pour l’heure, le journaliste est présumé innocent des faits qui lui sont reprochés. Sur le plateau de Touche pas à mon poste, lundi 20 juin 2022, Cyril Hanouna a voulu connaître l’avis de ses chroniqueurs concernant la décision de la direction du groupe. Gilles Verdez a assuré qu’elle n’avait pas d’autres choix. Dans le même temps, le chroniqueur a avancé un montant que Jean-Jacques Bourdin pourrait toucher comme indemnité de licenciement.

"La somme qu’il va toucher est très conséquente. Plusieurs centaines de milliers d’euros", a-t-il lancé dans un premier temps. Une sortie qui a interpellé Cyril Hanouna. L’animateur de TPMP a poussé son chroniqueur a en dire un peu plus. "On m’a parlé d’une somme autour des 500 000 euros", a-t-il poursuivi tout en assurant que ça pourrait aussi être plus. Toujours dans l’émission diffusée sur C8, Guillaume Genton a lui expliqué que le salaire du journaliste avait poussé la direction d’Altice à prendre cette décision de le licencier.

Le salaire de Jean-Jacques Bourdin aurait poussé la direction de BFMTV à prendre cette décision

"Elle aurait un autre argument : le salaire très conséquent du journaliste. Un salaire à six chiffres annuel. Il coûtait très très cher au groupe. C’est peut-être pour ça que la direction à voulu se séparer de lui", a-t-il lancé. Jean-Jacques Bourdin semble, de son côté, être très "heureux" par cette décision.

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