Depuis deux ans, l’ancienne actrice Manuela Lopez, qui a quitté Paris pour la Bretagne, a abandonné sa carrière d’actrice. Dans les colonnes du Télégramme, ce mercredi 4 mai, elle se confie sur sa nouvelle activité professionnelle.

Les anciens fans d’Hélène et les garçons, ou encore du Miracle de l’amour et de Sous le soleil se souviennent certainement de sa crinière bouclée… Manuela Lopez était une personnalité emblématique des sitcoms adolescentes des années 1990. Aujourd’hui âgée de 49 ans, l’actrice a choisi de mettre sa carrière artistique entre parenthèses pour se consacrer à une vie plus calme, mais surtout éloignée du strass et des paillettes. En effet, éloignée du petit écran, elle a choisi de s’installer dans le Finistère, à Brest, en Bretagne, et de se reconvertir professionnellement : elle est désormais sophrologue.

Interviewée par Le Télégramme, ce mercredi 4 mai, Manuela Lopez a évoqué sa nouvelle vie inattendue. « J’ai adoré travailler à Paris », a d’abord déclaré celle qui a « été chanteuse, écrivaine, comédienne » et qui, « avec le temps, [a] eu besoin d’un nouveau souffle ». « La mentalité en Bretagne, c’est quelque chose ! Je connaissais déjà un peu la région par le biais de ma meilleure amie qui travaille à Brest. J’ai eu envie de la rejoindre. C’est mon pilier, ma prise à la terre, une pure Bretonne », a affirmé avec tendresse l’ex-actrice qui s’est fait connaître grâce à son rôle d’Adelaide dans Hélène et les garçons.

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Une nouvelle carrière qui « colle parfaitement » à ses désirs

Son amitié avec cette personne a donc été l’élément déclencheur de son besoin de fuir la capitale, comme elle l’a expliqué auprès de nos confrères : « Elle m’a toujours ramenée à la réalité quand j’étais en tournage. J’ai toujours eu besoin d’avoir des personnes vraies à mes côtés, avec des valeurs, c’est important quand on fait ce métier. » Depuis « deux ans », Manuela Lopez a donc « arrêté les séries » pour se focaliser sur une carrière de sophrologue qui la rend visiblement très heureuse. « Je n’y trouvais plus mon compte, humainement, ça ne me convenait plus. Alors que l’environnement breton, le fait d’être en contact permanent avec la mer et la nature, cela colle parfaitement à mon mode de vie et mon envie d’être utile », a-t-elle souligné dans les colonnes du Télégramme.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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