Régine est décédée ce dimanche 1er mai : l’occasion de se souvenir des cinq tubes les plus marquants de cette reine de la fête et de la nuit.

« Les P’tits papiers » (1965)

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« Lais-ssez par-ler/Les p’tits papiers »… Cette chanson, une des douze que lui a écrites Serge Gainsbourg, reste l’un des titres les plus connus de la chanteuse. Pour la composer, Gainsbourg s’inspire de la chanson Les Petits pavés, Régine lui rappelant Fréhel, leur passion commune. La reine des boîtes de nuit est aussitôt conquise par ce titre sur un air de ragtime qui rappelle Scott Joplin. La chanson est ponctuée à chaque deuxième strophe du mot « papier » suivi d’un adjectif différent à chaque fois. Régine l’interprétera également en duo et la chanson fera l’objet de nombreuses reprises, notamment par Jane Birkin.

« La Grande Zoa » (1966)

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Ode colorée et joyeuse au monde de la nuit et à la figure du travesti. Sur un texte de Frédéric Botton, c’est la chanson qui résume le mieux Régine et sa gouaille de titi parisien. Le tube raconte les virées nocturnes d’une femme mystérieuse et tape-à-l’œil avec ses « bijoux », ses « chinchillas » et son « boa autour du cou ». On découvre au fur et à mesure de la chanson que la dame, avec « ce grand cou-là », est un travesti qui fréquente la « place Blanche » et ses lieux de rencontres homosexuelles.

« Ouvre la bouche, ferme les yeux » (1968)

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« Tu verras, ça glissera mieux… ». Une autre chanson irrévérencieuse écrite par son grand ami Serge Gainsbourg, le roi de la provocation. L’auteur des Sucettes joue là, une fois encore, sur l’ambiguïté. « C’est fou, l’effet que cette chanson-là a sur les gens ! Ils la croient drôle, avec un arrière-plan sexuel, alors qu’elle montre avant tout l’amertume et le tragique de la vie », disait Régine.

« Azzuro » (1969)

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Régine reprend en français ce tube d’Adriano Celentano, sorti en 1968. Composée par Paolo Conte, la chanson est aussitôt entrée dans l’imaginaire collectif des Italiens. Eddy Marnay l’adapte en français pour la chanteuse. Ce sera l’un des plus gros succès de Régine, qui le réenregistre en plusieurs versions.

« Les Femmes, ça fait pédé » (1978)

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Pour ce titre encore scandaleux, Serge Gainsbourg choisit une nouvelle fois Régine et sa gouaille pour l’interpréter même s’il hésite un peu en lui glissant : « Je ne sais pas si cette chanson est faite pour toi, si tu vas avoir le culot ». Avec des paroles qui retournent avec humour, comme un clin d’œil, les préjugés à l’égard des homosexuels, souvent moqués pour leur gestuelle jugée efféminée : « Les femmes, ça fait pédé, c’est très efféminé/Tellement efféminé, qu’ça fait pédé… Et quand ça bouge des hanches/Ça fait marcher les PDG ».

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