En 2019, Dominique Lagrou-Sempère fait le deuil de son mari, Claude Sempère, emporté par un cancer. Deux ans plus tard, la journaliste apprend le décès de Jean-Pierre Pernaut. Un coup dur.
Dominique Lagrou-Sempère accablée par les deuils. L’ancienne journaliste de TF1 a surmonté des épreuves difficiles dans sa vie, deux deuils insurmontables. En 2019, la mère de famille de nouveau en couple doit affronter le décès de son époux, Claude Sempère. Le grand reporter de France 2, habitué aux zones de conflits, a été emporté par un cancer. Une épreuve compliquée à vivre pour Dominique Lagrou-Sempère qu’elle raconte dans son livre Après l’orage aux éditions Flammarion. Ce n’est pas le seul deuil qu’elle a dû surmonter. Dans les colonnes de Gala, Dominique Lagrou-Sempère raconte.
Deux ans après le décès de son mari, la journaliste a appris la triste nouvelle de la disparition de Jean-Pierre Pernaut, lui aussi décédé d’un cancer. Une malédiction. « J’ai perdu mon complice » confiait-elle après son décès, très attristée.« Les coups durs donnent des ailes » déclare-t-elle avec émotions auprès de Gala. Et de poursuivre : « Depuis, je ne suis ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre. Quand on vit des choses aussi douloureuses, on découvre ses vraies ressources. » Pendant près de vingt ans, Dominique Lagrou-Sempère et Jean-Pierre Pernaut ont travaillé ensemble, transformant leur relation professionnelle en amitié sincère.
Nous sommes riches des hommes et des femmes que nous rencontrons. Il y a ceux que l'on oublie vite, par leur lâcheté, égoïsme et petitesse. Et puis il y a TOI. Délicieusement humain et généreux. Mon JP. Mon ami. Mon complice. À toi @nmarquaypernaut ❤️à Tom, Lou, Olivier, Julia ? pic.twitter.com/CTsGe1rnpq
Dominique Lagrou-Sempère endeuillée
Deux jours après le décès de son acolyte du 13h, Jean-Pierre Pernaut, Dominique Lagrou-Sempère s’est souvenue de leurs derniers échanges dans le Parisien. Bien qu’il ne présentait plus le JT, il n’avait jamais coupé les ponts avec sa collègue journaliste. Au contraire, « il ne se passait pas une semaine sans qu’on s’appelle deux ou trois fois. » Ce n’était pas forcément des discussions centrées sur le travail : “On s’envoyait des photos de nos enfants, des vacances, on avait aussi un plaisir commun, le jardinage. » Même dans ses derniers jours de vie, le duo s’échangeait des messages. Dominique Lagrou-Sempère se souvient qu’il est resté positif jusqu’à la fin. Et pour cause, “c’est un mec qui a toujours cru en la vie. Jusqu’au bout, il a cru en la vie.”
Crédits photos : bestimage
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