Dans une interview pour « Gala » réalisée par Nikos Aliagas et parue le 31 mars dernier, Anne-Claire Coudray est revenue sur l’une de ses petites mésaventures qui l’a vue se retrouver pieds nus dans la rue.

Elle est devenue un visage incontournable du petit écran il y a sept ans quand elle a pris les rênes du journal de 20h de TF1. Anne-Claire Coudray s’est confiée à Nikos Aliagas dans le Gala paru le 31 mars dernier. Elle lui raconte un certain nombre d’anecdotes sur sa vie, dont une qui l’a laissée pieds nus dans la rue, quand l’animateur de The Voice lui demande quel est son premier geste avant de sortir. « Vérifier que j’ai bien mes clés. J’ai souvent claqué la porte en les laissant à l’intérieur. La dernière fois, j’ai dû marcher pieds nus dans la rue pour aller chercher un double chez ma sœur… » explique-t-elle. Elle sera sur le pont pour l’élection présidentielle, à commencer par le premier tour dès ce 10 avril, avec Gilles Bouleau, comme en 2017.

Le résultat du premier tour annoncé bien après 20 h ?

Interrogée par Télé Magazine dans leur numéro paru le 5 avril, la journaliste s’est livrée sur la soirée du premier tour de l’élection présidentielle. « Cette fois-ci, aucun bureau de vote ne ferme à 18h. Tous ferment à 19 h ou 20 h », a expliqué la présentatrice de 45 ans. Elle précise alors que ces horaires de fermeture ne permettront pas aux instituts de sondage partenaires de la chaîne d’affiner correctement leurs estimations. Ainsi, « on risque de ne pas pouvoir annoncer le résultat à 20 h », poursuit-elle, avant d’indiquer : « On réfléchit à toutes les solutions car on ne peut pas se permettre de communiquer un gagnant s’il y a le moindre doute. »

De la crise, elle retient la solidarité

Dans son interview avec Nikos Aliagas, Anne-Claire Coudray est aussi revenue sur les différents confinements que la France a connus ces deux dernières années à cause de la Covid. « Ces voisins qui se faisaient un petit coucou par la fenêtre. Moi, j’ai décidé de ne garder que les exemples de solidarité, les applaudissements pour les soignants, les commerçants qui vendaient la marchandise de ceux qui n’avaient plus le droit d’ouvrir », ce sont les images qu’elle retient. Mais pas seulement puisqu’elle garde aussi en mémoire « notre immense capacité à s’adapter. Elle a été incroyable, mais je suis du genre à regarder le verre à moitié plein ».

L’interview d’Anne-Claire Coudray par Nikos Aliagas est à lire en intégralité dans le nouveau numéro de GALA, en kiosque ce jeudi 31 mars ou disponible en cliquant ici. Vous pouvez aussi recevoir GALA chez vous chaque jeudi en profitant d’une offre d’abonnement SANS ENGAGEMENT !

Article écrit en collaboration avec 6Médias

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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