À quelques jours du premier tour de la Présidentielle, Marine Le Pen s’est confiée à Closer sur une expérience amoureuse difficile. Dans cet entretien paru le vendredi 1er avril 2022, la candidate du Rassemblement National est revenue sur cette rupture douloureuse.

  • Marine Le Pen

Même les hommes et les femmes politiques les plus féroces ont un cœur. Marine Le Pen, candidate à la Présidentielle 2022, en est la preuve vivante. Dans un entretien accordé au magazine Closer vendredi 1er avril 2022, la candidate du Rassemblement National s’est confiée sur une rupture amoureuse qui l’a particulièrement ébranlée. Une grande partie de la population était déjà au courant de la grande rupture familiale de la vie de Marine Le Pen : celle faite avec son père, Jean-Marie Le Pen. Mais très peu savaient que la candidate à la Présidentielle, d’habitude très discrète sur sa vie privée, avait vécu une douloureuse histoire d’amour. Dans cet entretien pour Closer, elle retient surtout la difficulté de porter un nom de famille aussi connoté. « Je me souviens qu’un homme a préféré me quitter tant la pression de son entourage était lourde et pesante« , a confié la tante de Marion Maréchal, sans pour autant divulguer le nom de l’amant dont il était question.

« La fille de l’ogre »

Alors que le premier tour de la Présidentielle, prévu le dimanche 10 avril 2022, approche, Marine Le Pen s’est ouverte sur sa vie intime. Et en particulier sur ses histoires d’amour, pas toujours faciles à vivre. En tant que fille de Jean-Marie Le Pen, ancien président du Front National, elle était considéré comme « la fille de l’ogre« , a-t-elle avoué. « Ce n’était pas simple de sortir avec Marine Le Pen », a ajouté celle qui a été mariée à Franck Chauffroy. « Les quelques histoires d’amour que j’ai eues, c’était à La Trinité-sur-Mer, le village natal de mon père, où j’étais simplement Marine« , a révélé Marine Le Pen, aujourd’hui mère de trois enfants. « À Paris, il y avait comme une forme de terrorisme intellectuel dans les relations sociales », a-t-elle ajouté. Si ses enfants ne portent pas son nom de famille, mais celui de leur père, elle, de son côté, est fière de le conserver, et dit ne jamais vouloir le renier. « J’ai souffert pour ce nom. C’est le mien et j’y tiens », a-t-elle solidement affirmé.

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