À l’occasion de l’anniversaire d’Olivier Minne, ce vendredi 18 mars, Gala vous propose de revenir sur la période sombre que le présentateur télé a vécu à 35 ans, lorsqu’il n’avait ni contrat professionnel ni assez d’argent pour vivre.
Olivier Minne célèbre son 55e anniversaire, ce vendredi 18 mars. Pour l’occasion, Gala vous propose d’en savoir plus sur la période difficile que le présentateur télé a vécue, lorsqu’il n’avait plus de contrat ni de succès. Cela remonte aux années 1990, durant lesquelles l’animateur emblématique de Fort Boyard faisait face à une absence d’offres professionnelles. Au micro de l’émission Il n’y a pas qu’une vie dans la vie, diffusée sur Europe 1 en juin dernier, il évoquait ce moment sombre de sa carrière.
« La télévision a été gentille avec moi, cruelle parfois, et quelques rares fois même très violente », avait-il lancé, avant de préciser s’être « toujours méfié de la lumière », sachant pertinemment qu’elle pouvait ne pas être éternelle. « Il y a eu des moments où on me l’a retirée et fort heureusement, parce que j’avais toujours gardé à l’esprit qu’elle pouvait amener du malheur, je n’ai pas sombré », avait expliqué Olivier Minne auprès d’Isabelle Morizet. En effet, il était arrivé dans sa vie un épisode durant lequel il ne gagnait « plus d’argent » pour pouvoir financer son quotidien. Loin de recevoir de l’aide de la part de ses proches, le présentateur télé a vu « des gens autour de [lui], qu’[il] pensai[t] être des amis et qui [lui] tournaient le dos ». Un double coup dur pour lui et qui l’a obligé à prendre de la distance avec son entourage. Il a donc décidé de partir aux États-Unis, et plus précisément à Los Angeles, prêt à tourner la page de sa carrière dans l’audiovisuel.
Un « abandon » très difficile de la part de ses proches
« Je me dis qu’un temps de télévision m’a été offert, mais que maintenant, c’est terminé. J’avais 35 ans », avait développé Olivier Minne au micro de nos confrères, en rappelant qu’il « n’étai[t] pas une vedette », qu’il était « un peu connu, mais malheureusement pour [lui], suffisamment pour être un peu ennuyé au supermarché ou dans la rue, par des gens qui, sans malice, [lui] disaient : ‘On ne vous voit plus’ ». De quoi jouer sur son moral, une fois de plus. « Ça me rappelait que j’avais été abandonné par celles et ceux que je pensais être des amis », avait-il affirmé. Visiblement, prendre du recul loin de la France lui avait permis de préparer, comme il se devait, son retour au sein de l’Hexagone, au début des années 2000. On lui avait alors proposé d’animer Fort Boyard et le jeu télévisé La Cible, deux programmes qui ont su booster sa carrière.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : CEDRIC PERRIN / BESTIMAGE
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