Interviewée par nos confrères de TV Mag, ce jeudi 17 mars, Léa Salamé a fait des confidences sur sa vie de famille, qui est affectée à cause de sa vie professionnelle chargée, mais aussi sur ce pacte qu’elle a fait avec ses enfants pour leur prouver qu’elle souhaite être plus présente auprès d’eux.

Ce jeudi 17 mars au soir, Léa Salamé sera sur France 2 à l’occasion de la diffusion d’un nouveau numéro de l’émission politique Elysée 2022. À cette occasion, la journaliste de 42 ans a accordé une interview à nos confrères de TV Mag. Dans leurs colonnes, la compagne de Raphaël Glucksmann a évoqué son devoir de neutralité dans l’exercice de sa profession, notamment vis-à-vis de la guerre en Ukraine, mais aussi fait des confidences sur sa vie de famille.

Très prise par son travail, Léa Salamé a fait des choix qui impliquent qu’elle n’est pas forcément toujours là auprès des siens, lors de moments importants du quotidien. « Cela fait sept ans que je ne suis pas présente avec mon fils [le petit Gabriel âgé de cinq ans] et mon beau-fils [né en 2011 de l’ex-relation de Raphaël Glucksmann avec Eka Zgouladze] pour le petit-déjeuner », a-t-elle expliqué, en reconnaissant que c’est une situation difficile à gérer. « Ça me fait mal au cœur et c’est très dur », a-t-elle affirmé, en nuançant ses propos : « En même temps, c’est un tel honneur de présenter avec Nicolas Demorand la matinale de France Inter, qui réveille 4,5 millions d’auditeurs. » Quoi qu’il en soit, la journaliste a décidé d’anticiper le tournant que va prendre sa carrière dans les mois à venir, dans l’intérêt de ses proches.

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Une journaliste qui se rendra bientôt « plus disponible » pour sa famille

« Cette année, je n’ai aucun repos, même le week-end. Néanmoins, je consacre chaque minute de mon temps libre à ma famille », a déclaré Léa Salamé, qui a « fait un pacte avec les enfants, en leur indiquant qu'[elle sera] plus absente cette année, en raison de l’élection présidentielle », mais qu’elle « leur a promis qu[‘elle] serait plus disponible une fois que ce scrutin sera terminé ». En revanche, la journaliste a tenu à ne pas s’apitoyer sur son sort afin d’anticiper les critiques : « C’est mon choix, je ne peux pas me plaindre et je ne vais pas pleurnicher, car il existe des métiers beaucoup plus difficiles que le mien. Mais, l’année prochaine, il est certain que je vais lâcher des choses. »

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Pierre Perusseau / Bestimage

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