Au micro de LCI, Nicolas Sarkozy a souhaité rendre hommage à l’ancien présentateur du JT de 13 heures, Jean-Pierre Pernaut. Mais sa déclaration se voyait interrompue par la Première dame Brigitte Macron.
La télévision et la France perdent un grand homme… Le 2 mars dernier, c’est avec une grande émotion que les Français apprenaient le décès de l’homme les accompagnant pendant près de 32 ans durant leur déjeuner. Jean-Pierre Pernaut s’éteignait à l’âge de 71 ans des suites d’un cancer des poumons. Ce mercredi 9 mars, sa famille, ses amis, ainsi que de nombreuses personnalités, ont voulu lui rendre un dernier hommage à la Basilique Sainte-Clotilde, située dans 7e arrondissement de Paris.
Cyril Hanouna, Sylvie Tellier, ou encore son collègue de TF1 Gilles Bouleau, avaient fait le déplacement, bien évidemment avec des visages attristés et remplis de larmes. Une émotion tout à fait normale dans un tel événement mais que n’aurait sans doute jamais souhaité Jean-Pierre Pernaut, toujours avec le sourire aux lèvres lorsqu’il évoquait l’actualité à l’écran. Un homme qui respirait la joie de vivre et « très gentil » selon les dires des personnes qui le connaissaient. Nicolas Sarkozy, ex-Chef de l’État et proche de l’ex-présentateur de la première chaîne, se trouvait lui aussi présent à l’hommage.
Interrogé par nos confrères de LCI, il décrivait un « homme bon, bienveillant et gentil ». En profitant également pour faire part de son regret de ne pas toujours être tombé sur « des gens bons et bienveillants » au cours de sa carrière professionnelle. Nicolas Sarkozy ajoutant également : « avec Carla, nous avons voulu honorer sa dépouille et sa famille », avant de se faire interrompre par Brigitte Macron. La Première dame venant saluer l’ex-Président de la République sans avoir fait attention aux caméras qui réalisaient l’interview.
Après cette interruption, Nicolas Sarkozy revenait à Jean-Pierre Pernaut pour se remémorer ses moments passés devant son JT. « Moi j’aime bien regarder les gens qui sont proches des autres et qui parlaient de la France, telle qu’on l’aime. La France profonde », concluait-il. Un bel hommage lui a été rendu et nul doute que, de là-haut, l’homme du 13 heures a dû être touché d’entendre autant de mots gentils à son égard.
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R.F
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