Dans un entretien exclusif publié dans le Journal du Dimanche ce 27 février, Claude Lelouch se confie sur son quotidien, son passé et sur sa relation avec la romancière Valérie Perrin.

Une plage à Deauville, une séance au Studio 28 à Montmartre… Ces lieux chargés d’histoire rythment la routine dominicale bien huilée de Claude Lelouch, célèbre cinéaste français. Au cours d’une interview publiée ce dimanche 27 février dans le Journal du Dimanche, le réalisateur partage ses habitudes et les relations qu’il entretien avec sa famille et ses amis. L’occasion pour lui de prouver, une fois de plus, sa tendresse envers Valérie Perrin, sa compagne depuis près de 16 ans. Une belle histoire qui ne devrait pas s’arrêter tout de suite, à en croire l’intéressé, qui évoque une image forte à nos confrères du JDD : « j’ai trouvé ma veuve ». Le cinéaste ne s’arrête pas là et ajoute même : « Mais le plus tard possible car j’ai bien l’intention de jouer les prolongations… ».

Du haut de ses 84 ans, Claude Lelouch continue de vivre avec passion. Très matinal, il se réveille aux aurores pour profiter : « J’ouvre un œil en 5 et 6 heures (…) Je ne veux pas louper le début du film ». Une belle métaphore du cinéaste pour exprimer les plaisirs du quotidien et la simplicité dans laquelle il vit. Amoureux de la Normandie, il valse entre les moments d’authenticité à Deauville et dans la capitale. « A 17 heures, les rues se vident et Paris m’appartient », se réjouit-il.

« J’ai l’intime conviction qu’on est ici pour longtemps »

Inépuisable, Claude Lelouch est bien loin d’être en panne d’inspiration. Après avoir réalisé 50 films, le cinéaste travaille déjà sur la suite de son dernier long-métrage, L’amour c’est mieux que la vie. Initialement annoncé comme son dernier film, il a toutefois précisé qu’il s’agira en réalité d’une trilogie.« Je déteste les ralentisseurs, sur la route comme dans la vie », déclare-t-il au JDD. Une énergie folle, inépuisable presque qui fait écho à la philosophie d’un homme fonceur qui vous compte encore régaler les Français pendant de longues années.

Crédits photos : CEDRIC PERRIN / BESTIMAGE

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