Au cours d’une interview pour “Ciné Télé Revue” dévoilée ce jeudi 17 février, Alexandra Lamy a évoqué son actualité… Mais pas seulement. Sans fard, la comédienne a abordé sa vie intime qui n’est pas un sujet “tabou” dans sa famille !

Ces dernières années, Alexandra Lamy n’a cessé d’épater ses admirateurs avec ses innombrables projets. Comédienne hors pair, la star a plus d’une corde à son arc. Dorénavant, c’est dans la réalisation que l’actrice s’épanouit. Via son premier téléfilm baptisé “Touchées”, elle met en lumière le quotidien de trois femmes victimes de violences sexuelles. Dans cette œuvre, Claudia Tagbo, Mélanie Doutey et sa fille Chloé Jouannet sont mises à l’honneur. Le 23 février prochain sur RTL TVI, le public pourra ENFIN découvrir son film.

Pour le promouvoir, Alexandra Lamy a accordé – ce jeudi 17 février – un entretien exclusif au magazine Ciné Télé Revue. L’occasion pour elle de se livrer sur la sexualité et le féminisme. À en croire ses dires, évoquer sa vie intime avec ses proches n’a jamais été “tabou”… Bien au contraire !

« J’ai saoulé ma fille sur le sujet du consentement […]. »J’ai raconté ma première fois à mes parents. J’avais 16 ans et demi », a souligné l’artiste en expliquant la scène. “7 h 30, je descends dans la cuisine, mon père fait du pain grillé et je lui dis : « Papa, j’ai fait ma première fois, cela ne s’est pas bien passé », a précisé la grande sœur d’Audrey Lamy en affirmant que son géniteur avait « déjà envie de casser la gueule » au principal intéressé.

Après leur échange, Alexandra Lamy s’est longuement confiée à sa maman sur le sujet. « Je vais voir ma mère dans la salle de bains et elle me parle de la pilule. On entre dans un truc technique et là, je vois, dans l’encadrement de la porte, mon père qui écoute la conversation », a avoué l’ex-épouse de Jean Dujardin qui assure qu’il lui aurait demandé si elle avait “fait des préliminaires”. “On s’est mis à parler de sexualité d’une manière que je n’aurais jamais imaginée ». Grâce à ses conseils, la réalisatrice a compris « qu’il fallait faire attention à l’autre et que c’était important que les femmes aient une jouissance autant que les hommes ». C’est dit !

N.B

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