Ce mercredi 2 février 2022, Louise et Kevin Orgeval ont débarqué dans Familles nombreuses : la vie en XXL. Une occasion pour la jeune maman de se confier sur le handicap de sa petite dernière.

Après les Santoro, Pellissard et autres Bambara, une toute nouvelle famille vient de rejoindre le casting de l’émission phare de TF1 « Familles nombreuses : la vie en XXL ». Ce mercredi 2 février 2022, Louise et Kevin Orgeval ont présenté leur petite tribu composée de Mano, Swann, Mia, Loucio, Oscar et Noée. Lors d’une interview pour Télé-Loisirs, la matriarche s’est confiée sur ses enfants, elle a notamment évoqué l’adoption de la petite dernière. « On a eu cinq enfants biologiques, qui sont âgés de 5 à 15 ans, et on a adopté Noée en 2020, qui est une petite fille porteuse de trisomie 21. Elle est arrivée dans notre famille à l’âge de trois mois. »

En participant à l’émission, le couple se donne donc une mission. Mettre un terme aux idées reçues. « On veut partager notre expérience, notre vie un petit peu extraordinaire. Il est important pour nous de montrer que la vie avec le handicap peut être sympa et rigolote. Car lorsqu’on parle de notre famille et qu’on dit que la petite dernière est handicapée, souvent les gens nous disent : ‘Courage, ce n’est pas facile’, ‘Les pauvres’… Alors que non, notre vie est chouette. On veut montrer ce côté positif de notre vie et du handicap. » Louise ajoute aussi que l’adoption était un véritable rêve. « J’ai toujours su au fond de moi que je voulais adopter. Quand j’ai rencontré Kévin, c’était beaucoup moins évident pour lui. Du coup, on a eu des enfants biologiques, le cours de la vie a fait qu’on en a eu cinq. Mais malgré tout, ce projet est toujours resté dans notre tête. Il y a eu des épreuves avec nos enfants qui ont fait qu’on n’a pas pu le mettre en place au moment où on l’aurait voulu. Mais après la naissance d’Oscar, on a demandé un agrément. On voulait absolument adopter un enfant porteur de handicap, puisqu’on avait déjà une famille bien composée. »

Côté jugement, la compagne de Kevin évoque de nombreux a priori. « On souffre davantage des préjugés. Dans le regard des gens, on ne voit pas grand-chose, mais parfois on entend des phrases ou on lit des choses qui nous concernent. Les préjugés par rapport au handicap ou aux familles nombreuses me touchent. Les gens ont des idées préconçues sur ce qu’il se passe chez nous, de la vie et du niveau social qu’on a ». Une nouvelle famille qui risque de faire évoluer les esprits.

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