Fondateur d’une entreprise de marshmallow personnalisés, James Middleton a dû mettre la clé sous la porte. Les investisseurs, confiants dans le projet du frère de Kate Middleton, vont potentiellement subir de lourdes pertes, selon le Daily Mail.

Coup dur pour James Middleton : Boomf, son entreprise de marshmallows personnalisés, a dû déposer le bilan huit ans après sa création. Le frère de Kate Middleton, en proie par le passé à des troubles dépressifs, était parvenu à lever 2,6 millions d’euros auprès d’investisseurs, dont son beau-frère James Matthews, l’époux de sa sœur Pipa Middleton. D’après le Daily Mail, la chute risque d’être rude pour les créanciers, dont une large partie sont des petites entreprises. En effet, sur 1,20 euro investi, ils n’en récupèreront que 0,30 centime…

Pour l’heure, le déficit accumulé représenterait 2,4 millions d’euros. Une douche froide pour les investisseurs, qui avaient cru au projet commercial du frère de la duchesse de Cambridge. À l’origine, l’idée était de proposer des marshmallows personnalisables envoyés par la poste à des amis ou des proches pour des occasions spéciales (anniversaires, Noël…). D’après le Daily Mail, James Matthews aurait versé près de 120 000 euros dans les caisses de l’entreprise de son beau-frère. Les investisseurs, dont certains ont accordé plusieurs dizaines, voire centaines de milliers d’euros, ne récupèreront qu’un quart de leur mise.

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L’entreprise de James Middleton s’est redressée… avant de couler

James Middleton, 34 ans, a bien eu du mal à faire décoller son entreprise. Son idée de marshmallow n’a jamais vraiment fait recette depuis le lancement de la société en 2013. D’après le Daily Mail, le chiffre d’affaires a pu profiter en 2020 des confinements dus à la crise sanitaire au Royaume-Uni pour générer des revenus, mais les choses ont vite tourné court. Le principal intéressé, marié depuis septembre 2021 à la Française Alizée Thevenet, avait pourtant le rêve de devenir le prochain Richard Branson, le fondateur anglais multimillionnaire de Virgin Group. L’entrepreneur déçu peut tout de même se consoler auprès de son épouse dans leur sublime ferme du Berkshire, acquise pour 1,7 million d’euros l’été dernier.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : Agence / Bestimage

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